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UN NOUVEAU PACTE POUR FAIRE LA VILLE AVEC SES HABITANT.E.S

Candidat.e.s à des fonctions électives, nous croyons en la démocratie représentative. Mais nous devons agir avec les Stéphanois.es, car une poignée d’élu.e.s ne doit pas décider seule des grandes orientations qui vont façonner notre ville et nos quartiers pour les décennies à venir. Face à un système démocratique en panne, nous voulons mettre en place une démocratie locale en continu, cadre nécessaire à une contribution active de tous.

Pour cela, nous proposons de redonner la parole aux citoyen.ne.s tout au long du mandat, avec :

  • Un « droit d’initiative citoyenne » permettant de faire inscrire un sujet à l’ordre du jour du conseil municipal ;
  • Un double budget participatif qui permettra aux citoyen.ne.s d’intervenir dans les grands choix d’investissements proposés par le conseil municipal mais aussi de consacrer du budget d’investissement à des projets choisis par la population ;
  • Des « consultations citoyennes » locales régulières, sortes de référendums locaux mais ouverts aux résidents étrangers ;
  • La réouverture des conseils de quartiers, échelon de base de la démocratie participative, à tou.te.s les habitant.e.s, dès l’âge de 16 ans.

De refaire du conseil municipal, un vrai espace démocratique, avec :

  • Un fonctionnement révisé du conseil municipal, pour qu’il ne soit pas qu’une chambre d’enregistrement des décisions du Maire, et un retour à une périodicité mensuelle ;
  • Des séances du conseil municipal délocalisées à travers la ville ;
  • Une réunion publique annuelle sur le bilan de l’action municipale ;
  • La création de comités d’usagers des services publics locaux ;
  • Une meilleure prise en compte des décisions des instances représentatives ou consultatives.

D’œuvrer pour une véritable éthique publique, avec :

  • Une baisse de 20% de l’indemnité du Maire ;
  • La transparence sur les emplois au cabinet du Maire : interdiction des emplois familiaux, publication de la composition, des missions et des rémunérations de ces emplois ;
  • L’instauration d’une obligation d’assiduité pour les élu.e.s est un mécanisme de pénalité financière en cas d’absentéisme ;
  • La publication des sommes perçues et des éventuels avantages en nature reçus par les élu.e.s. .

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