Pour ce second tour, le choix est désormais très clair. Il ne reste que deux bulletins de vote.

Après la pandémie de Covid-19, l’enjeu de cette élection, c’est de savoir si l’on souhaite reconstruire, au niveau local, « comme si de rien n’était », le modèle existant, fait de projets climaticides, de casse sociale, d’affaiblissement des services publics et d’un pouvoir municipal parfois autoritaire, aux mains de quelques uns, ou si, au contraire, nous cherchons, ensemble, à le réinventer, en initiant sans attendre les indispensables transitions.

Nous vous proposons de faire le choix d’une équipe rassemblée autour d’un projet de transformation sociale, de transition écologique et citoyenne de notre ville.

Nous voulons agir maintenant pour apporter des solutions concrètes aux problèmes du quotidien, préparer l’avenir et garantir la qualité de vie des générations futures à Saint-Étienne.

ÉCONOMIE : D’UN PLAN DE RELANCE À UN PLAN DE TRANSFORMATION

Face à la crise économique et sociale qui se présente devant nous, et dont nous ne pouvons pas encore mesurer l’ampleur, les Collectivités peuvent et doivent agir. La question est de savoir si l’on veut relancer le modèle de développement économique existant ou, au contraire, le réinventer.

Pour transformer durablement le développement économique de notre territoire, nous proposons de :

  • Donner la priorité du soutien public aux entreprises pour des projets de création d’emplois durables et non-délocalisables.
  • Faire de la transition écologique un levier pour la création d’emplois, en valorisant l’expertise et le savoir-faire industriel de nos PME et de nos artisans : construction et rénovation de logements, isolation…
  • Mobiliser pleinement les services métropolitains pour faciliter les implantations d’entreprises, en organisant un environnement immobilier et foncier davantage en adéquation avec les besoins des prospects.
  • Engager Saint-Étienne dans le dispositif « Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée ».
  • Favoriser et développer l’Économie Sociale et Solidaire en créant « une cité de l’ESS » regroupant largement les acteurs locaux du secteur, pour faciliter les coopérations et l’accès aux marchés.
  • Doubler les clauses d’insertion à chaque fois que cela est possible lors de la passation des marchés publics et développer les chantiers d’insertion.
  • Doubler le nombre de stagiaires dans les services municipaux.

Mesures d’urgence

Pour répondre aux enjeux immédiats de la crise, nous proposons également de :

  • Créer un fonds de solidarité métropolitain Covid-19 complémentaire au soutien déjà apporté au fonds d’avance remboursable régional, pour les entreprises souhaitant engager la relance de leur activité dans le champ de la transition écologique. Ce dernier sera immédiatement abondé par le renoncement au désendettement métropolitain prévu pour 2020.
  • Maintenir l’exonération des loyers des entreprises hébergées dans des locaux métropolitains jusqu’en 2021.
  • Créer un « Conseil local de relance » pour concevoir, avec l’ensemble des acteurs du monde économique local (chambres consulaires, fédérations, organisations syndicales…) et associant les anciens maires de Saint-Étienne et présidents de la Métropole, un plan de sortie de crise et de relance co-construit au plus près des besoins des acteurs de terrain. Un comité de suivi des aides apportées sera par ailleurs mis en place.
  • Instaurer un « tiers-payant énergétique » au profit des ménages, qui permettra de soutenir la relance du secteur du BTP.

SAUVONS NOS COMMERCES DE PROXIMITÉ

Malmené par les décisions de l’équipe municipale sortante, le pouvoir d’achat en berne, l’essor du e-commerce, notre commerce de proximité souffre. La fermeture des boutiques pendant le confinement et celle prolongée des bars et restaurants a accentué ces difficultés. Aujourd’hui, c’est leur survie même qui est en jeu. Pour soutenir nos commerces, il faut des mesures « choc » et immédiates.

STEEL, une trahison

Avec une ouverture programmée en septembre, le projet STEEL du maire sortant incarne un mode de consommation déjà obsolète et mortifère pour le centre-ville. Il s’y trouvera non seulement des enseignes pour lesquelles des surfaces étaient disponibles en cœur de ville, mais aussi des boutiques qui viendront directement concurrencer celles du centre. Le développement d’une offre de loisirs accentuera davantage l’évitement du centre-ville par les clients extérieurs.

Une faute stratégique doublée d’une trahison politique !

Nous voulons lancer une vaste opération de « résistance » pour renforcer l’attractivité du centre-ville. Nous nous engageons à :

  • Mettre à disposition des locaux commerciaux dans nos quartiers pour faciliter l’installation de nouveaux commerces, par une extension des prérogatives de la foncière commerciale municipale.
  • Instaurer une taxe sur les friches commerciales pour lutter contre la vacance.
  • Développer des animations ludiques et culturelles et proposer des événements réguliers à travers la ville.
  • Profiter des nombreux rez-de-chaussée vacants pour diversifier l’offre de services et soutenir les initiatives associatives et citoyennes (conciergeries, ateliers de bricolage…).

Mesures d’urgence

Pour relancer immédiatement l’attractivité commerciale du centre-ville et des quartiers, nous proposons un train de mesures concrètes :

  • Gratuité immédiate des transports en commun dès cet été tous les week-ends à compter du vendredi soir.
  • Exonération de la taxe sur les enseignes, des droits de terrasse et de voirie pour les commerçants jusqu’en 2021.
  • Financement municipal de protections en Plexiglas® pour tous les commerces de la ville qui en feront la demande, en complément de l’offre régionale.
  • Octroi du stationnement au tarif résident pour tous les commerçants, leurs employés et les artisans.
  • Autorisations d’agrandissement des terrasses pour lutter contre la perte de chiffre d’affaires liée aux mesures de distanciation.
  • Pérennisation de l’agrandissement des marchés de plein air
    et implantation éventuelle de nouveaux marchés.
  • Piétonisation de certaines places et rues pour faciliter la déambulation commerciale.

Un bon d’achat de 50 euros pour tous afin d’injecter immédiatement 6,5 millions d’euros dans nos commerces de proximité : oui, c’est possible !

Afin de soutenir le pouvoir d’achat, le commerce de proximité et la transition écologique, nous proposons de distribuer un bon d’achat de 50 euros / Liens à chaque Stéphanois.e âgé.e de plus de 18 ans, à consommer dans un commerce de proximité de la ville (à l’exclusion des grandes chaînes, franchises et boutiques des centres commerciaux).

La distribution de ces bons d’achat pourrait être assurée par l’association Sainté Shopping et se faire en Liens, la monnaie locale. Celle-ci permet la relocalisation de l’économie au service des besoins écologiques et humains du territoire.

Cette mesure représente un coût de 6,5 millions d’euros, soit l’équivalent du montant du désendettement réalisé par la Ville en 2019. Dans un contexte « d’économie d’après-guerre », nous assumons de donner la priorité à la relance plutôt qu’à la réduction de la dette.

MOBILITÉS : LE TEMPS DE L’ÉCOLOGIE

Pour nous, la ville de demain est une ville où la place de la voiture individuelle recule : pour améliorer le cadre de vie de tou.te.s, pour un meilleur partage de l’espace public, pour réduire la pollution…

Pour engager notre ville et sa Métropole dans une véritable transition écologique des mobilités, nous proposons de :

  • Améliorer l’offre du réseau de transports urbains : vitesse, fréquences, confort, extension nocturne, définition de nouvelles dessertes dans les quartiers et création de comités d’usagers.
  • Développer une offre consolidée de parkings relais aux 4 principales entrées de ville et instaurer des navettes rapides pour les relier au centre.
  • Etendre progressivement la zone 30 et mieux en matérialiser le périmètre.
  • Instaurer un « disque vert » au profit des véhicules électriques et en auto-partage, permettant d’avoir 2 heures de stationnement gratuit sur tous les emplacements de surface.

Des alternatives d’avenir pour améliorer la liaison Saint-Étienne / Lyon

Les amis politiques LR du maire sortant ont imaginé pendant le confinement relancer le projet abandonné d’A45 dans le cadre de la relance économique. Celui-ci s’est entêté dans une position jusqu’au-boutiste sur l’A45, boycottant les instances de travail sur les alternatives d’avenir nécessaires pour améliorer la liaison Saint-Étienne/Lyon.

Contrairement à lui, nous prendrons toute notre part dans ces travaux, afin d’y défendre les intérêts de notre territoire. Nous œuvrerons au renforcement de la ligne SNCF Saint-Étienne / Lyon dans une optique de développement d’un réseau express métropolitain et défendrons la création d’un pôle d’échanges multimodal à Terrenoire.

Mesures d’urgence

Les premiers mois du « monde d’après » doivent être l’occasion de modifier radicalement nos comportements, avec moins de voitures et plus de mobilités actives, et de ramener de la vie en centre-ville. Pour cela, nous nous engageons à :

  • Favoriser la pratique cycliste par un « plan vélo » municipal ambitieux : développement de pistes cyclables pérennes et sécurisées et de vélos-routes, soutien à l’intermodalité (racks à vélos à l’arrière des bus).
  • CRÉER UNE AIDE de 300 EUROS pour l’acquisition d’un vélo à assistance électrique urbain (dans la limite d’un vélo par foyer sur la durée du mandat).
  • DÉPLOYER MASSIVEMENT DES ARCEAUX DE STATIONNEMENT VÉLOs dans l’epace public.
  • Redonner sa place au piéton par la piétonisation de certaines rues et places DANS L’hyper-centre.

La gratuité des transports en commun : une mesure centrale de notre projet

Avec le renforcement de la qualité des transports, elle permettra de redonner du pouvoir d’achat, faire reculer la place de la voiture en ville, améliorer la qualité de l’air, soutenir nos commerces, apaiser les relations sociales dans les transports et garantir le droit à la mobilité pour tou.te.s.

Dans une situation de baisse temporaire des recettes fiscales en lien avec la crise économique, les premières années du mandat seront prioritairement consacrées à l’amélioration du réseau avant d’atteindre la gratuité totale du réseau STAS, tout le temps et pour tou.te.s !

Nous proposons d’instaurer dès cet été la gratuité du réseau les week-ends à partir du vendredi soir.

Le fiasco des pistes cyclables temporaires

Les pistes cyclables provisoires mises en place par le maire sortant sur le boulevard urbain et le cours Fauriel ont suscité une vraie levée de boucliers et ont rapidement été enlevées, pour la plupart. Le développement du vélo à Saint-Étienne est une nécessité, mais il mérite mieux que d’être un simple support de communication.

SAINT-ÉTIENNE, VILLE RÉSILIENTE

Une action résolue contre le changement climatique

L’ampleur de la crise sanitaire que nous traversons ne saurait faire oublier la gravité de la crise climatique que nous devons également affronter. Saint-Étienne doit devenir une ville où la transition écologique ne sera plus un slogan, mais une réalité.

Pour adapter notre ville à la réalité du changement climatique, nous voulons un urbanisme d’avenir. Cela suppose de :

  • Décider avec les Stéphanois.es du devenir de plusieurs sites stratégiques : site de la Charité, Bourse du Travail, îlot Eden, immeuble « ex-CAF » rue Emile Loubet, parking des Ursules, jardin et bâtiment des Beaux-Arts…
  • Instaurer « le permis de louer » pour lutter contre l’habitat indigne et les marchands de sommeil.
  • Lutter contre l’étalement urbain à l’échelle de la Métropole.
  • Accompagner et inciter la création de coopératives d’habitants et les opérations d’habitat groupé type « castors ».
  • Réorienter l’action et les budgets d’intervention de l’EPASE prioritairement au profit des quartiers densément peuplés de la ville.

Pour tendre vers le « zéro déchet », nous proposons :

  • L’expérimentation de la tarification incitative de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (chaque famille paye en fonction du poids de déchets produits).
  • Le renforcement du tri sélectif.
  • Le déploiement progressif d’une 3ème poubelle « marron », pour la collecte des déchets alimentaires.
  • L’installation de bacs à compost par îlots d’habitations.

Pour améliorer le cadre de vie et lutter contre les épisodes caniculaires, nous prônons le développement de la nature et de la place de l’eau en ville, avec :

  • La création d’un parc « zéro béton » en cœur de ville, en sanctuarisant l’espace dégagé par la démolition de l’îlot « Eden ».
  • La programmation d’un grand parc urbain doté d’un miroir d’eau, en concertation avec les Stéphanois.es, en remplacement du parking des Ursules.
  • La découverture du Furan sur un premier tronçon.
  • La création d’un cheminement vert à partir des parcs stéphanois.
  • Un programme de végétalisation des cours d’école et des espaces publics.
  • La création d’un véritable parc de loisirs à vocation sportive sur le site Jean Marc, avec la création d’un plan d’eau.
  • La lutte contre l’artificialisation des sols en compensant les m2 imperméabilisés par des équivalents en espaces verts.

Mesures d’urgence

Pour faire de Saint-Étienne une territoire résilient en cas de nouvelle crise sanitaire ou épisode climatique, nous proposons en outre de :

  • Mettre en place un « tiers-payant énergétique » pour accélérer la rénovation thermique des logements.
  • Favoriser les projets d’habitats qui offrent plus d’espaces extérieurs (jardins, terrasses, balcons…).
  • Faire de Saint-Étienne Métropole un territoire à «  énergie positive  » pour poser les bases d’une moindre dépendance vis-à-vis de fournisseurs d’énergie lointains.

Faire baisser les factures avec une gestion publique de l’eau.

Dans un contexte de réchauffement climatique et de raréfaction de la ressource, l’eau potable est un bien précieux dont il faut prendre soin, mais dont l’accessibilité doit être garantie pour tou.te.s. En 2022, la fin de la concession de la distribution de notre eau potable à une entreprise privée (« La Stéphanoise des Eaux ») doit pouvoir permettre la remunicipalisation du service, sans pénalité financière. Nous faisons le choix d’une gestion publique de ce bien commun pour pouvoir œuvrer à l’instauration d’une tarification éco-solidaire, réellement progressive, adaptée à chaque foyer.

DÉVELOPPER L’AGRICULTURE ET L’ALIMENTATION LOCALES

Une agriculture locale pour créer des emplois et mieux manger à Saint-Étienne

La crise sanitaire que nous venons de traverser aura mis en lumière la nécessité d’une production alimentaire locale et de qualité. La question de la qualité de l’alimentation et de son impact sur notre santé est en effet devenue centrale dans de nombreux foyers. Il nous faut encourager et amplifier cette dynamique, qui passe par une politique volontariste de relocalisation de la production agricole, de soutien aux circuits courts et à la conversion au bio de nos producteurs en visant l’autonomie alimentaire de notre territoire.

Pour développer sur notre territoire une agriculture au service du « bien manger », de la préservation de la biodiversité et de la lutte contre le réchauffement climatique, nous nous engageons à :

  • Expérimenter le maraîchage municipal pour l’approvisionnement d’un futur groupe scolaire en centre-ville, par la création d’une régie agricole municipale bio.
  • Empêcher toute nouvelle « consommation » de terres agricoles à l’échelle de la Métropole et mettre à disposition le foncier agricole disponible pour favoriser l’installation de producteurs.
  • Développer l’alimentation bio et locale dans les différents lieux de restauration collective publique : crèches, écoles, maisons de retraites…
  • Expérimenter un revenu de transition écologique, pour soutenir la conversion au bio de nos producteurs locaux.
  • Renforcer le soutien municipal aux jardins ouvriers et familiaux, sanctuariser les parcelles et encourager la diversification des pratiques et des profils des jardinier.ère.s.
  • Développer les jardins partagés dans chaque quartier.

Mesures d’urgence

Pour encourager et amplifier les dynamiques de consommation de proximité entrevues lors du confinement, nous voulons également :

  • Développer une plateforme publique d’approvisionnement en produits bio et locaux pour encourager les circuits courts et faciliter la mise en relation entre les producteurs locaux et les distributeurs : restauration collective publique, épiceries solidaires, AMAP, supermarchés coopératifs, commerces responsables…
  • Développer la culture maraîchère urbaine et périurbaine, en visant la constitution d’une ceinture maraîchère aux portes de la ville.
  • Mettre en place une réserve de volontaires agricoles en cas de crise.
  • Reconnaître symboliquement le caractère d’utilité public du monde paysan.

Une erreur majeure : la non-réouverture des marchés pendant le confinement

Le maire sortant a fait le choix, pendant toute la durée du confinement et même au-delà, de ne pas solliciter la réouverture des marchés stéphanois, contrairement à plus de 60 autres maires de la Loire. Il s’agit pour nous d’une erreur majeure qui a privé les Stéphanois.es de la possibilité de s’approvisionner en produits frais ailleurs qu’en grande surface, où les risques sanitaires étaient tout aussi élevés, sinon plus, qu’en plein air.

Si cette décision n’est pas surprenante de la part du premier défenseur de STEEL, la majorité des Stéphanois.es ont estimé, à juste titre, qu’elle était un non-sens. Les élus minoritaires, tout comme la Confédération paysanne, ont exhorté le maire sortant à revoir cette décision et proposé des solutions d’organisation, en vain.

Face au « maire des interdictions », nous serons l’équipe des solutions.

GARANTIR UN CADRE DE VIE PROPRE ET AGRÉABLE DANS UNE VILLE « AMIE DES ANIMAUX »

Abandons de masques, décharges sauvages, déjections canines, mégots… sont autant de désagréments qui nuisent à notre quotidien et à l’attractivité de la ville.

Pour garantir un cadre de vie propre et agréable, nous proposons de :

  • Améliorer la propreté de nos quartiers avec des missions de sur-entretien.
  • Implanter une nouvelle déchetterie sur les secteurs Sud-Est.
  • Généraliser les corbeilles de tri et déployer des cendriers-sondages.
  • Poursuivre le développement du nombre de toilettes publiques et améliorer leur propreté.
  • Améliorer les espaces canins et déployer une politique active de verbalisation des déjections canines sauvages et du non-port de la muselière pour les chiens d’attaque.
  • Associer étroitement les associations animalistes aux décisions municipales en matière de bien-être animal et soutien financier pour la lutte contre l’abandon des animaux de compagnie.
  • Interdire les cirques avec animaux sauvages sur le territoire communal.

Mesures d’urgence

Jeter masques, lingettes, mouchoirs ou gants usagés au sol, cela revient à polluer durablement notre environnement, exposer les personnes qui les ramassent à la contamination et contribuer à la propagation du Covid-19.

  • Pour garantir la sécurité sanitaire des Stéphanois.es, nous nous engageons à :
  • Déployer des distributeurs de gel hydroalcoolique dans l’espace public et des poubelles pour déchets infectieux.
  • Assurer le nettoyage et la désinfection à UN RYTHME plus réguliER du mobilier urbain.
  • Augmenter la fréquence de la collecte des corbeilles dans l’espace public.
  • Rétablir la Brigade Environnement de Proximité, supprimée par le maire sortant, pour lutter plus efficacement contre les incivilités environnementales.